Une vision dystopique hyper pertinente, et ajustée, qui fait beaucoup beaucoup réfléchir, autour des questions de surveillance et de tracking, autour des questions de privatisation, et à l'inverse de réappropriation des espaces , de la propriété privée et de l'autogestion. Et j'avoue ce n'est pas comme si j'avais envie de me reconnaître dans Lorca la sociologue de terrain...