Oiseauxdelatempete
Bibliothèque autogérée des oiseaux de la tempête
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Contrôle social
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Corps en grève
Amandine Wadre Puntous, Valentine Boucq
Lyon, mars 1973. Vingt-trois travailleurs tunisiens sans-papiers entament une grève de la faim pour obtenir un titre de séjour. Elle durera vingt jours durant lesquels Français et immigrés lutteront ensemble, jusqu'au bout. Raconter le combat oublié de ces travailleurs immigrés sans-papiers, c'est se replonger au début des années 1970, lorsque l'opinion publique " découvre" leurs conditions de vie : selon un rapport officiel, 800 000 travailleurs étrangers vivaient alors en France dans de véritables taudis. Les autrices ont enquêté, retrouvé « les trois Mohamed » aujourd'hui retraités, pères de familles ayant fait souche en France... Leur histoire fait indéniablement échos à l'actualité. Les bidonvilles ont disparu, jungle et campements de fortune sont apparus, les droits humains restent bafoués.
La mort du dogme de l'Immaculée Conception La faillite de l'explication religieuse du mal
Cette année 2009 fête le bicentenaire de la naissance de Darwin. Bruno Alexandre a saisi cette occasion pour montrer que la science de l'évolution a inauguré "le crépuscule des dogmes". La doctrine orthodoxe est qu'il ne faut pas mêler les domaines de la science et de la foi, étant par ailleurs bien entendu que "la lumière de la raison et celle de la foi viennent toutes deux de Dieu, c'est pourquoi elles ne peuvent se contredire". (Jean Paul II, Enc. "Foi et raison", §43). Bruno Alexandre montre le contraire par l'examen du dogme de l'Immaculée Conception et de l'explication religieuse du mal. Après Darwin le statut scientifique de l'homme apparaît incompatible avec le statut théologique.
L'athéisme : une conviction, une attitude
Athéisme, une conviction, une attitude
Qu'est-ce qu'être athée ? Choisit-on d'être athée ou croyant ? Qu'est-ce que cela implique dans la façon de vivre, se concevoir le monde, face à la mort ? L'athéisme est-il une croyance comme les autres ? Quelle est l'histoire de l'athéisme ? Quels sont les rapports entre laïcité et athéisme, entre science et athéisme ? Autant de questions que se sont posées plusieurs classes de collège et lycée en correspondance avec des membres du chantier Recherche documentaire au second degré de l'ICEM-Pédagogie Freinet. Ce texte raconte les échanges avec les jeunes et tente d'apporter quelques réponses. Un ouvrage de la collection Bibliothèque de Travail collège et lycée.
Qu'est-ce qu'être athée ? Choisit-on d'être athée ou croyant ? Qu'est-ce que cela implique dans la façon de vivre, se concevoir le monde, face à la mort ? L'athéisme est-il une croyance comme les autres ? Quelle est l'histoire de l'athéisme ? Quels sont les rapports entre laïcité et athéisme, entre science et athéisme ? Autant de questions que se sont posées plusieurs classes de collège et lycée en correspondance avec des membres du chantier Recherche documentaire au second degré de l'ICEM-Pédagogie Freinet. Ce texte raconte les échanges avec les jeunes et tente d'apporter quelques réponses. Un ouvrage de la collection Bibliothèque de Travail collège et lycée.
Frantz Fanon
Frédéric Ciriez, Romain Lamy
Le nom de Frantz Fanon (1925-1961), écrivain, psychiatre et penseur révolutionnaire martiniquais, est indissociable de la guerre d’indépendance algérienne et des luttes anticoloniales du XXe siècle. Mais qui était vraiment cet homme au destin fulgurant ?
Nous le découvrons ici à Rome, en août 1961, lors de sa légendaire et mystérieuse rencontre avec Jean-Paul Sartre, qui a accepté de préfacer Les Damnés de la terre, son explosif essai à valeur de manifeste anticolonialiste. Ces trois jours sont d’une intensité dramatique toute particulière : alors que les pays africains accèdent souvent douloureusement à l’indépendance et que se joue le sort de l’Algérie, Fanon, gravement malade, raconte sa vie et ses combats, déplie ses idées, porte la contradiction au célèbre philosophe, accompagné de Simone de Beauvoir et de Claude Lanzmann. Fanon et Sartre, c’est la rencontre de deux géants, de deux mondes, de deux couleurs de peau, de deux formes d’engagement. Mais la vérité de l’un est-elle exactement celle de l’autre, sur fond d’amitié et de trahison possible ?
Ce roman graphique se donne à lire non seulement comme la biographie intellectuelle et politique de Frantz Fanon mais aussi comme une introduction originale à son œuvre, plus actuelle et décisive que jamais.
Nous le découvrons ici à Rome, en août 1961, lors de sa légendaire et mystérieuse rencontre avec Jean-Paul Sartre, qui a accepté de préfacer Les Damnés de la terre, son explosif essai à valeur de manifeste anticolonialiste. Ces trois jours sont d’une intensité dramatique toute particulière : alors que les pays africains accèdent souvent douloureusement à l’indépendance et que se joue le sort de l’Algérie, Fanon, gravement malade, raconte sa vie et ses combats, déplie ses idées, porte la contradiction au célèbre philosophe, accompagné de Simone de Beauvoir et de Claude Lanzmann. Fanon et Sartre, c’est la rencontre de deux géants, de deux mondes, de deux couleurs de peau, de deux formes d’engagement. Mais la vérité de l’un est-elle exactement celle de l’autre, sur fond d’amitié et de trahison possible ?
Ce roman graphique se donne à lire non seulement comme la biographie intellectuelle et politique de Frantz Fanon mais aussi comme une introduction originale à son œuvre, plus actuelle et décisive que jamais.
Les 12 preuves de l'inexistence de Dieu - Suivi de Les paroles d'une croyante et Réponse à une croyante
Camarades, il y a deux façons d'étudier et de tenter de résoudre le problème de l'inexistence de Dieu.
La première consiste à éliminer l'hypothèse Dieu du champ des conjectures plausibles ou nécessaires par
une explication claire et précise par l'exposé d'un système positif de l'Univers, de ses origines, de ses
développements successifs, de ses fins. Cet exposé rendrait inutile l'idée de Dieu et détruirait par avance
tout l'échafaudage métaphysique sur lequel les philosophes spiritualistes et les théologiens la font reposer.
Or, dans l'état actuel des connaissances humaines, si l'on s'en tient, comme il sied, à ce qui est démontré
ou démontrable, vérifié ou vérifiable, cette explication manque, ce système positif de l'Univers fait défaut...
La première consiste à éliminer l'hypothèse Dieu du champ des conjectures plausibles ou nécessaires par
une explication claire et précise par l'exposé d'un système positif de l'Univers, de ses origines, de ses
développements successifs, de ses fins. Cet exposé rendrait inutile l'idée de Dieu et détruirait par avance
tout l'échafaudage métaphysique sur lequel les philosophes spiritualistes et les théologiens la font reposer.
Or, dans l'état actuel des connaissances humaines, si l'on s'en tient, comme il sied, à ce qui est démontré
ou démontrable, vérifié ou vérifiable, cette explication manque, ce système positif de l'Univers fait défaut...
La mort de l'asile
Jacques Lesage de La Haye
Jacques Lesage De La Haye, après avoir passé onze ans et demi en prison, a été psychologue au CHS de Ville-Evrard et chargé de cours à l’université de Paris VIII. Et ici, là et ailleurs, il n’a cessé de dénoncer toutes les formes d’enfermement.
Dans ce livre où se mêlent souvenirs personnels et analyses théoriques il nous raconte l’histoire finalement assez peu connue de l’antipsychiatrie.
De sa critique psy et de sa critique sociale de l’asile. De sa volonté de promouvoir, via notamment des pratiques autogestionnaires, la part d’humanité du fou. De sa lutte pour abattre les murs de l’enfermement et réinsérer le fou dans la vie sociale.
Aujourd’hui, tout en continuant à subsister ici ou là, l’asile a été largement remplacé. Le secteur psychiatrique comprend en effet foyers de jour et de nuit, appartements associatifs, collectifs et thérapeutiques, centres d’accueil thérapeutique à temps partiel, hôpitaux de jour, centres médicopsychologiques, centres de crise et d’accueil d’urgence… Pour autant, et ce livre en témoigne, la bataille est encore loin d’être gagnée.
Pire, à l’heure du déferlement d’un véritable délire sécuritaire savamment orchestré par les maîtres du monde, elle s’annonce âpre et si ce livre, qui est un livre de combat, sort aujourd’hui, ce n’est nullement un hasard.
Tout juste une nécessité !
Dans ce livre où se mêlent souvenirs personnels et analyses théoriques il nous raconte l’histoire finalement assez peu connue de l’antipsychiatrie.
De sa critique psy et de sa critique sociale de l’asile. De sa volonté de promouvoir, via notamment des pratiques autogestionnaires, la part d’humanité du fou. De sa lutte pour abattre les murs de l’enfermement et réinsérer le fou dans la vie sociale.
Aujourd’hui, tout en continuant à subsister ici ou là, l’asile a été largement remplacé. Le secteur psychiatrique comprend en effet foyers de jour et de nuit, appartements associatifs, collectifs et thérapeutiques, centres d’accueil thérapeutique à temps partiel, hôpitaux de jour, centres médicopsychologiques, centres de crise et d’accueil d’urgence… Pour autant, et ce livre en témoigne, la bataille est encore loin d’être gagnée.
Pire, à l’heure du déferlement d’un véritable délire sécuritaire savamment orchestré par les maîtres du monde, elle s’annonce âpre et si ce livre, qui est un livre de combat, sort aujourd’hui, ce n’est nullement un hasard.
Tout juste une nécessité !
La peste monothéiste : néoplatoniciens, jésus-chrestiens, talmudistes, mahométans, ils reviennent
Les religions – toutes les religions – sont des insultes à l’intelligence.
Comment, en effet, peut-on croire à quelque chose qui n’existe pas, dont le fils serait né d’une vierge, qui aurait dit que la terre était plate, qui aurait cré le monde il y a 4000 ans en pétrissant de la terre avec ses petites mains?
Pourquoi, malgré cela, les religions que l’on disait saignées à blanc par les progrès de la science et de la société reprennent-elles du poil de la bête en ce début de XXIè Siècle ? Pourquoi cette “résurrection” du religieux s’affuble-t-elle du masque hideux et rétrograde du pire obscurantisme qui soit ? Pourquoi les religions monothéistes demeurent-elles tatouées au fer rouge totalitaire ?
Dans ce livre, Cyrille Galion répond à toutes ces questions et c’est peu dire que le crétinisme religieux comme la vermine capitaliste auront du mal à s’en relever.
Ni dieu ni maître ! Hier. Comme aujourd’hui. Comme demain. Et comme toujours.
Comment, en effet, peut-on croire à quelque chose qui n’existe pas, dont le fils serait né d’une vierge, qui aurait dit que la terre était plate, qui aurait cré le monde il y a 4000 ans en pétrissant de la terre avec ses petites mains?
Pourquoi, malgré cela, les religions que l’on disait saignées à blanc par les progrès de la science et de la société reprennent-elles du poil de la bête en ce début de XXIè Siècle ? Pourquoi cette “résurrection” du religieux s’affuble-t-elle du masque hideux et rétrograde du pire obscurantisme qui soit ? Pourquoi les religions monothéistes demeurent-elles tatouées au fer rouge totalitaire ?
Dans ce livre, Cyrille Galion répond à toutes ces questions et c’est peu dire que le crétinisme religieux comme la vermine capitaliste auront du mal à s’en relever.
Ni dieu ni maître ! Hier. Comme aujourd’hui. Comme demain. Et comme toujours.
Cléricalisme moderne et mouvement ouvrier
Le cléricalisme ancien avait la bedaine ostensible. Il aimait à parader avec les traîneurs de sabre. Il avait su se rendre indispensable aux puissants par sa gestion abêtissante des multitudes en haillons. Ce cléricalisme là affichait haut et clair son appétit de pouvoir temporel ! Et puis, il y a un siècle, le cléricalisme moderne s'est rallié à cette évidence : « Tout peut changer sans que rien ne change. » La république, la laïcité... si on ne peut pas les fairre exploser de l'extérieur, il convient de faire semblant de s'y rallier pour pouvoir les faire imploser de l'intérieur. La doctrine sociale de l'église était née. Et depuis des décennies, l'Église ne cesse de regagner du terrain ici, là et ailleurs. Financement public des écoles confessionnelles, laîcité ouverte à toujours plus de bondieuseries, remise en cause du droit de critique à l'encontre de la religion... Ce livre nous décrit par le menu un des aspects mal connus de cette stratégie : celui de la main-mise cléricale sur une fraction du mouvment ouvrier. Une main-mise programmée et annoncée. Et c'est peu dire que ça fait peur ! Et que ça incite, de nouveau, à sortir nos vieilles armes de l'anicléricalisme primaire et décomplexé. Que ce livre magistral ait obtenu le Grand Prix Ni dieu Ni maitre 2008 n'étonnera, donc, que ceux qui s'étonneront toujours de tout pour ne s'être jamais étonné d'eux-même ! En co-édition avec la Fédération Nationale de la Libre Pensée.
Réseau alternative à la psychiatrie
La psychiatrie faite, dit-on, pour «donner des soins aux malades mentaux » produit aussi un nombre incroyable d'insatisfaits, de mécontents, de révoltés. Le Réseau-Alternative à la psychiatrie est né de cette situation. Il rassemble des individus ou des groupes qui ont tenté de rompre avec cette organisation bureaucratique et centralisée de la médecine mentale. Ce recueil présente une première série d'expériences et de réflexions engagées dans cette voie, en France, en Europe, en Amérique Latine et aux Etats-Unis. Dans un processus de luttes à long terme, engagées souvent par des individus isolés, en butte à la répression, le Réseau n'entend pas louer le râle d'organisation hégémonique. Il souhaite seulement offrir un lien d'échanges pour aider à confronter, approfondir et appliquer quelques choix simples: suppression de toutes les formes d'enfermement psychiatrique, refus du monopole des professionnels sur les problèmes de la santé mentale, critique du secteur comme mise en plane d'une relève technocratique de l'asile, ainsi que des nouvelles techniques psychiatriques ou psychanalytiques qui servent de couverture à cet expansionnisme, soutien aux luttes menées par des groupes ou à la population des quartiers pour prendre en mains leurs propres affaires et éviter la psychiatrisation de la vie tout entière, de l'enfance à la vieillesse, des marginaux de toute nature aux dissidents de toute espèce.[résumé d'éditeur]
chroniques d'un incroyant naissance dans la guerre des religions du livre
" faites la guerre à ceux qui ne croient pas en dieu ni au jour dernier..." le coran, sourate ix : 29.
" tuez-les tous où vous les aurez accrochés..." le coran, sourate ii: 190-193. "...et ils dévouèrent par interdit, au fil de l'épée, tout ce qui était dans la ville, hommes et femmes, enfants et vieillards, jusqu'aux boeufs..." la bible - jos vi: 21. " tu ne contracteras point de mariage avec ces peuples (de canaan), tu ne donneras point tes fils à leurs filles..." la bible, deut vii: 3. ces propos, et combien de centaines d'autres encore, qui figurent en toutes lettres dans les " textes sacrés " des trois " grands " monothéismes, démontrent, s'il en était besoin, que les croisades, la sainte inquisition, les guerres de religion, le génocide des indiens d'amérique, les conquêtes de l'islam..., ne sont pas " tombés du ciel ".
Mais, nous explique-t-on, tout cela est du passé ! alors pourquoi, en ce début de xxie siècle continuer à se référer à des textes en contradiction avec les déclarations des droits de l'homme et la plus élémentaire morale ? pourquoi ces fatwas contre des écrivains ? ces appels au jihad ? cette haine de la contraception, de l'homosexualité, des femmes, de la liberté d'expression ? ces déclarations récentes d'un grand rabbin énonçant que, les palestiniens étant des amalécites, la torah autorisait qu'on les tue tous : hommes, femmes, enfants, bétail...oe a l'heure où le religieux, au nom de vertus qu'il autoproclame, affiche des prétentions indécentes dans la vie de nos sociétés, allant jusqu'à vouloir brider notre liberté de penser et de dire, il n'est pas inutile de rappeler, comme le fait bruno alexandre, que les livres sources de leurs représentants devraient les conduire, si leur lobby n'était pas ce qu'il est, devant les tribunaux, pour " injure et provocation à la haine, à la discrimination et à la violence racistes ", motifs qu'ils invoquent d'ailleurs eux-mêmes pour faire taire ceux qui osent les critiquer et les caricaturer ! les blasphémateurs, ce sont eux !
" tuez-les tous où vous les aurez accrochés..." le coran, sourate ii: 190-193. "...et ils dévouèrent par interdit, au fil de l'épée, tout ce qui était dans la ville, hommes et femmes, enfants et vieillards, jusqu'aux boeufs..." la bible - jos vi: 21. " tu ne contracteras point de mariage avec ces peuples (de canaan), tu ne donneras point tes fils à leurs filles..." la bible, deut vii: 3. ces propos, et combien de centaines d'autres encore, qui figurent en toutes lettres dans les " textes sacrés " des trois " grands " monothéismes, démontrent, s'il en était besoin, que les croisades, la sainte inquisition, les guerres de religion, le génocide des indiens d'amérique, les conquêtes de l'islam..., ne sont pas " tombés du ciel ".
Mais, nous explique-t-on, tout cela est du passé ! alors pourquoi, en ce début de xxie siècle continuer à se référer à des textes en contradiction avec les déclarations des droits de l'homme et la plus élémentaire morale ? pourquoi ces fatwas contre des écrivains ? ces appels au jihad ? cette haine de la contraception, de l'homosexualité, des femmes, de la liberté d'expression ? ces déclarations récentes d'un grand rabbin énonçant que, les palestiniens étant des amalécites, la torah autorisait qu'on les tue tous : hommes, femmes, enfants, bétail...oe a l'heure où le religieux, au nom de vertus qu'il autoproclame, affiche des prétentions indécentes dans la vie de nos sociétés, allant jusqu'à vouloir brider notre liberté de penser et de dire, il n'est pas inutile de rappeler, comme le fait bruno alexandre, que les livres sources de leurs représentants devraient les conduire, si leur lobby n'était pas ce qu'il est, devant les tribunaux, pour " injure et provocation à la haine, à la discrimination et à la violence racistes ", motifs qu'ils invoquent d'ailleurs eux-mêmes pour faire taire ceux qui osent les critiquer et les caricaturer ! les blasphémateurs, ce sont eux !
Les aventures véridiques de Jean Meslier, 1664-1729 : curé, athée et révolutionnaire
Thierry Guilabert
Au début de l’été 1729 disparut, dans le plus grand secret, un prêtre ardennais répondant au nom de Jean Meslier, exerçant depuis quarante ans dans la même paroisse. Son décès ne tut pas inscrit dans le registre paroissial. Son corps fut inhumé hors de la terre consacrée de l’Église.
Ce curé était apostat, curé le jour, barbare athée la nuit, il laissait à sa mort un épais manuscrit où il mettait en pièce non seulement la religion chrétienne mais toutes les religions, piétinant avec rage les prétentions des églises du monde. Surtout, il montra le lien unissant les rois, les nobles et les prêtres, et proposa que l’on se débarrasse de tous les puissants, regrettant au passage l’absence de généreux assassins pour en finir avec les Césars…
Ce livre est une présentation vivante de la vie et de l’œuvre de Jean Meslier.
Ce curé était apostat, curé le jour, barbare athée la nuit, il laissait à sa mort un épais manuscrit où il mettait en pièce non seulement la religion chrétienne mais toutes les religions, piétinant avec rage les prétentions des églises du monde. Surtout, il montra le lien unissant les rois, les nobles et les prêtres, et proposa que l’on se débarrasse de tous les puissants, regrettant au passage l’absence de généreux assassins pour en finir avec les Césars…
Ce livre est une présentation vivante de la vie et de l’œuvre de Jean Meslier.
Lettres de prison
Antonio Gramsci
L'Italien Antonio Gramsci, né en 1891, mort en prison en 1937, est considéré aujourd'hui comme le plus grand théoricien marxiste depuis Lénine. Arrêté par la police le 8 novembre 1926, il est condamné «pour conspiration contre les pouvoirs de l'État, provocation à la guerre civile, incitation à la haine des classes, apologie d'actes criminels et propagande subversive». Pendant onze ans de captivité, il entretient une volumineuse correspondance qui témoigne du combat permanent de l'intellectuel et du militant contre l'ordre fasciste. Elle complète les Cahiers de prison qu'on s'accorde à considérer comme un élément essentiel de la culture italienne.